Et de 153 !

Hier, c'était le dernier match de la Real Mill Power Team avant le départ massif de joueurs cadres pour Malaga (les salopards!). Apres une défaite 4-0 que je ne vous ai pas racontée (parce que pfff, quand même! 4-0... honteux) nous avons concédé une nouvelle défaite, plus stylée néanmoins: 5-3, avec un début de match raté (0-4 en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire) qui n'était pas sans rappeler les entames parfois poussives de l'IsArafOot.

La réaction de l'équipe est restée dans la veine IsArafOot: spectaculaire, mais insuffisante... avec un retour á 3-4, on y a un peu cru, mais hélas (et non pas Ménélas) un début de match pareil ça te bousille une rencontre, capacité de réaction ou pas...

Notons que j'ai sonné personnellement la révolte (il fallait bien que qulqu'un le fasse!) en inscrivant le premier but dont je suis fier car il est teinté de Beatles. Lisez plutôt:
Georges le Libanais déborde á droite, fout le cul de son défenseur dans l'herbe fraiche (en relisant ceci je note qu'il y a Georges et Fraiche dans la même phrase... je vous rassure: c'est un hasard; d'ailleurs je crois que le nom de l'homme politique pro-quota de joueurs noirs en équipe de France, ça s'écrit "Frêche") et centre á ras de terre. Eric le Dutch est devant moi, et il a bien l'intention de reprendre comme il peut, mais il a tort: positionné comme il est, je te parie une tulipe contre une bouteille de Bourgogne qu'il va envoyer une frappe force 4 en direction du poteau de corner. Je suis bien mieux placé, mais dans la panique, j'oublie quelque peu la maniere dont on dit "laisse moi frapper je suis mieux placé je vais placer une chiche á retourner le gardien adverse dans son falzar" en international (c'est l'inconvénient dans notre équipe cosmopolite), alors j'opte pour une formule pop et je gueule: 'Let it be!'. Hop, il laisse la balle venir á moi et je t'expédie la mine du chef dans le petit filet.